18 Sep
18Sep

Origines historiques :


« Les divergences qui éclatèrent alors pour la première fois [en France, à l’occasion de la loi Falloux sur l’enseignement] ne feront dans la suite que s’accroître selon la loi de leur marche angulaire (…) Un large sillon divisait désormais les catholiques en deux groupes, ceux qui avaient comme premier souci la liberté de l’Eglise et le maintien de ses droits dans une société encore chrétienne, et ceux qui, premièrement s’efforçaient de déterminer la mesure de Christianisme que la société moderne pouvait supporter pour ensuite inviter l’Eglise à s’y réduire. » 

Dom Delatte, abbé de Solesmes, Vie de Dom Guéranger


« Le libéralisme politique du XIXe siècle nous a donné le "citoyen", individu déraciné de la famille, de la classe sociale, de la profession, du milieu culturel, de l'agrégat économique, et il lui a donné le droit facultatif d'intervenir dans la constitution de l'État. C'est donc dans ce citoyen qu'a été placée la source de la souveraineté nationale. Mais, tout compte fait, nous nous trouvons en présence d'une abstraction, d'un concept erroné ou insuffisant, et c'est du côté des groupes naturels nécessaires à notre vie individuelle et qui constituent réellement la société politique, que nous trouverons plus sûrement le point d'appui que nous cherchons. » 

Antonio de Oliveira Salazar » ( 1889 - 1970)



Extrait de la conférence de Mgr Lefebvre à ses séminaristes du 20 août 1976

     (...) Ah une lettre du 25 juin qui précédait, ça c’est de Mgr Benelli, la lettre du 25 juin, c’est tout de même très grave ce qu’il dit là. « Le Saint-Père me charge aujourd’hui même de confirmer la mesure qui vous a été intimée en son nom de mandato speciali  vous abstenir actuellement de conférer toute ordination, ne prenez pas prétexte du désarroi des séminaristes – ça c’était la réponse à ma lettre en disant : je ne peux pas abandonner les séminaristes – vous abstenir donc actuellement de conférer toute ordination, ne prenez pas prétexte du désarroi des séminaristes ordinands. C’est justement l’occasion de leur expliquer ainsi qu’à leur famille que vous ne pouvez les ordonner au service de l’Eglise contre la volonté du pasteur suprême de l’Eglise. Il n’y a rien de désespérant dans leur cas. S’ils sont de bonne volonté et sérieusement préparés à un ministère presbytéral dans la fidélité véritable à l’Eglise conciliaire, dans la fidélité véritable à l’Eglise conciliaire on se chargera de trouver ensuite la meilleure solution pour eux. Mais qu’ils commencent d’abord eux aussi par cet acte d’obéissance à l’Eglise – donc à l’Eglise conciliaire –. Mais qu’est-ce que c’est que cette Eglise conciliaire ? Ils se vendent là, ils se trahissent, parce qu’enfin nous ne connaissons pas. Qu’est-ce que c’est que cette Eglise conciliaire : fidélité véritable à l’Eglise conciliaire. Donc, à ce concile, ils sont obsédés vous voyez par la fidélité à ce concile Vatican II, n’est-ce pas, qui pour eux est la nouvelle Eglise, c’est l’Eglise conciliaire avec ses sacrements, sa foi, son culte, enfin ses catéchismes, et tout, c’est effrayant, effrayant. On ne peut pas être soumis à ça, impossible, ils se trahissent eux-mêmes. 

     Alors qu’est-ce que je vais demander, je vais demander aux séminaristes de faire le serment qu’ils sont soumis à l’Eglise conciliaire ? ! Qu’est-ce que c’est que ça, c’est pas possible. Non, non, c’est clair maintenant que nous avons affaire à une nouvelle Eglise, une Eglise qui a douze ans, c’est ce que j’ai dit aussi à ces messieurs quand ils le demandent. Vous vous opposez, vous avez l’air très sûr de vous-même Je suis sûr de moi, c’est pas moi, je suis sûr par ma Tradition, par les deux mille ans de Tradition. Eux ils ont dix ans de Tradition derrière eux, et ils tremblent parce qu’ils sentent qu’ils sont en train de s’écrouler, enfin, ils doivent trembler à la pensée de toute cette opinion qui est en train de se retourner pour nous. Et vous allez le sentir partout certainement dans vos paroisses et partout. Le nombre va grossir de ceux qui vont venir vers vous. C’est sûr parce que les gens de bon sens maintenant sont avertis. Et je pense que c’est vraiment une chose très importante je crois, dans l’histoire de l’Eglise. Les gens vont devoir faire un choix. Nous nous avons fait. Nous avons choisi pour l’Eglise catholique de toujours, nous refusons cette Eglise conciliaire, cette Eglise nouvelle. Eh bien maintenant, les gens vont devoir faire un choix. Ou ils seront pour l’Eglise conciliaire ou ils seront pour l’Eglise catholique, il y a pas, il y a plus à choisir. Les quelques congrégations religieuses qui restent encore, je dirais, auprès de nous, qui semblent vouloir nous suivre, vont être obligées aussi de prendre leur orientation. Malheureusement, Fontgombault a pris l’Eglise conciliaire, n’est-ce pas, très malheureusement, et j’ai vu une note qui a été faite par l’abbé de Fontgombault il y a très peu de temps, communiquée à sa filiale de Randol, c’est vraiment lamentable, lamentable, n’est-ce pas. Me critiquant à fond, à fond, et me disant que je suis complètement dans l’erreur et que je fais fausse route, et que enfin, il ne faut plus me suivre, etc. Ca m’est égal, c’est pas pour moi, mais je regrette pour Fontgombault parce que quand même ils ont choisi l’Eglise conciliaire. Eh bien je pense que maintenant, si nous connaissons des groupes de personnes qui hésitent, il faut absolument qu’elles n’hésitent plus, qu’elles se mettent avec la Tradition, n’est-ce pas, avec l’Eglise catholique. 


     C’est ce que vous disiez au début, je reviens à ce que vous disiez au début, n’est-ce pas, au sujet justement du fait qu’il ne faut pas dire : on suit Mgr Lefebvre, on est avec Mgr Lefebvre, mais on est d’Eglise catholique tout simplement. Et si il y a quelques familles encore une fois, et des prêtres qui résistent et qui ne nous connaissent pas, et qui ne veulent pas de cette Eglise conciliaire, ils sont l’Eglise catholique, c’est l’Eglise catholique. Toute personne qui résiste et qui dit : moi, je garde ma foi catholique, je ne veux pas devenir protestant, je ne veux pas devenir moderniste, c’est l’Eglise catholique. Il n’y a pas de doute, qu’est-ce que vous voulez. Alors il faut donc bien dire ça aux gens, je crois que c’est très important qu’ils comprennent cela pour qu’ils soient fermes dans leur décision et qu’ils n’aient pas cette impression enfin que s’ils n’ont pas un contact avec nous, avec des prêtres traditionalistes ils sont perdus, ils vont couler, ils ne savent plus ce qu’ils sont. 

Mais non, ils sont l’Eglise catholique, même s’ils restaient trois ans je dirais sans pouvoir avoir de messe, sans pouvoir avoir de catéchisme ou quoi que ce soit. Enfin, s’ils ont s’ils prient et s’ils gardent la foi catholique comme les Japonais qui sont restaient trois siècles n’est-ce pas éloignés de tout prêtre et qui avaient gardé la foi catholique, eh bien ils sont l’Eglise, ils sont l’Eglise. Alors je pense que tout ça est très important. J’avais apporté ces deux livres parce que je crois qu’ils sont vraiment révélateurs, enfin, ça, ça, ça, ça confirmait ce que vous disiez tout à l’heure. Enfin vous voyez je ne sais pas si vous connaissez le Libéralisme catholique de Prélot, ça vaut vraiment la peine de l’acheter parce que ça confirme, n’est-ce pas que les libéraux, les catholiques libéraux, estiment que le concile est avec eux, que c’est leur concile, que c’est le concile qui triomphe, qui fait le triomphe du libéralisme, il le dit explicitement, c’est un catholique, Marcel Prélot, sénateur du Doubs, n’est-ce pas, c’est un professeur, c’est pas n’importe qui, qui a écrit ça après le concile. Et qui montre justement, il met en exergue deux phrases qui m’avaient toujours frappé moi-même, quand je les ai retrouvées là en exergue, en exergue je me dis ben oui, ça confirme parfaitement ce que je pensais d’ailleurs je vous avoue quand le pape a parlé après le concile et qu’il a fait son adresse aux ambassadeurs, aux chefs d’états qui étaient présents, il a dit : que demande-t-elle de vous, gouvernants, cette Eglise, elle vous l’a dit dans un de ces textes majeurs de ce concile, vous voyez quelle est l’appréciation que le pape donne lui même du schéma, de la déclaration, de la simple déclaration de la liberté religieuse – dans un de ces textes majeurs de ce concile, elle ne vous demande que la liberté. Or évidemment, ça ressemble tellement au prospectus de l’Avenir de Lamennais condamné par Grégoire XVI : Tous les amis de la religion doivent comprendre qu’elle n’a besoin que d’une seule chose : la liberté. Lamennais, et ça c’était en exergue de son Avenir.

  • Un séminariste : Ils ont mis aussi le texte de Lamennais ?

  • Ah oui, le texte de Lamennais et le texte du pape Paul VI, et ça au début, en exergue de ce livre qui dit précisément qui dit précisément voici c’est le libéralisme catholique qui a triomphé. Regardez. C’est frappant vous savez.

  • Un séminariste :  Quelle édition ?

  • Ceci c’est Armand Colin. Alors il fait un petit résumé, le petit résumé est frappant. « Il connaît des victoires le libéralisme catholique il pointe avec, il fulgure avec l’essor de l’Avenir, il pointe avec la circulaire d’Eichstein en 1814, il fulgure avec l’Avenir en automne 1830. Il connaît des victoires, des crises alternées, jusqu’à ce que le message de Vatican II aux gouvernants marque sa fin, ses revendications fondamentales, éprouvées et épurées étant reçues par le concile lui-même. » Donc le libéralisme se considérant comme maintenant officiellement reconnu par le concile Vatican II « Aussi est-il possible aujourd’hui de considérer le libéralisme catholique tel qu’en lui-même enfin l’éternité le change. Il échappe aux confusions qui ont encombré sa carrière, qui a certains moments ont failli la clore prématurément, il apparaît ainsi qu’il fut réellement, non pas une suite d’illusions pieuses professées par des ombres diaphanes et chlorotique, mais comme une pensée engagée ayant au cours d’un siècle et demi mis son emprise sur les esprits et sur les lois avant de recevoir l’accueil définitif de cette Eglise qu’il avait si bien servie, mais dont il avait été si souvent méconnu. »

  • C’est frappant, vous savez. Or, c’est un écrivain catholique qui dit ça du concile, alors ça confirme parfaitement ce que nous disons. Le concile est le concile du libéralisme est le concile du triomphe du libéralisme. C’est clair, c’est clair.

Puis enfin quand on lit L’œcuménisme vu par un franc-maçon de Marsaudon enfin tout de même ce franc-maçon il sait ce qu’il dit. « Nous ne devrons pas oublier pourtant les chrétiens pour autant que tout chemin mène à Dieu et se maintenir dans cette courageuse notion de la liberté de pensée qui, on peut vraiment parler là de révolution, partie nos loges maçonniques s’est étendue magnifiquement au-dessus du dôme de Saint-Pierre. » Ah oui, c’est le concile, ah ils triomphent, n’est-ce pas. C’est évident, ils triomphent. Et malheureusement il a ces phrases terribles : « lorsque Pie XII décida de diriger lui-même le très important ministère des affaires étrangères: la secrétairerie d’Etat, Monseigneur Montini fut élevé au poste extrêmement lourd d’archevêque du plus grand diocèse d’Italie, Milan, mais il ne reçut pas la pourpre, il devenait non pas impossible canoniquement, mais difficile traditionnellement qu’à la mort de Pie XII il puisse accéder au pontificat suprême. C’est alors qu’un homme vint qui comme le précurseur s’appela Jean et tout commença à changer. »

Un séminariste : Monseigneur, on peut poser une question, s’il vous plaît ?

Un franc-maçon, qu’est-ce que vous voulez, c’est effrayant, c’est effrayant, c’est effrayant. Ce n’est pas moi qui dit ça, ce n’est pas nous qui disons ça. Ce sont les ennemis de l’Eglise, les libéraux sont les ennemis de l’Eglise. Car le pape Pie IX disait il n’y a pas de pires ennemis de l’Eglise que les catholiques libéraux. Il l’a dit dix fois, vingt fois à tous ceux qui venaient le voir à Rome n’est-ce pas. Alors voilà ces gens-là qui viennent dire notre concile a définitivement accepté nos théories. Nous avons lutté un siècle et demi, depuis la Révolution française, nous avons été un siècle et demi pour que nous y arrivions, désormais le concile les a entérinés. Celui-ci, ce franc-maçon : voilà, maintenant nous arrivons au concile, la liberté de pensée a plané sur le dôme de Saint-Pierre. Ah oui, la liberté de pensée, la liberté de culte, la liberté de conscience, mais oui, avec l’objection de conscience qui se trouve dans le schéma de Gaudium et spes, il y a la liberté de conscience, s’il y a une objection de conscience on fait donc ces trois libertés ont été reconnues par le concile. 

     C’est le libéralisme qui triomphe, c’est sûr, qui est le pire ennemi, enfin le modernisme, enfin ce que vous disiez tout à l’heure. On ne peut pas accepter ce concile. Ce concile sera jugé un jour par l’histoire, l’histoire de l’Eglise dans trente ans, dans cinquante ans, dans un siècle, on jugera ce concile du Vatican et on ne pourra pas ne pas dire que ce concile a été infesté par les idées libérales et que tout est équivoque. Je vais faire paraître dans quelques jours, je crois, mes interventions au concile. Je m’excuse de me mettre en cause, mais mes interventions au concile et quelques documents, le document du Saint-Père qui a répondu – ça c’est inédit absolument– un document, je suppose que je ne peux pas être attaqué par le Saint-Siège, mais enfin un document inédit, une réponse manuscrite du Saint-Père au cardinal Laraona, et à quelques cardinaux et à plusieurs supérieurs généraux de congrégations religieuses qui sont signés mais les signatures ne paraîtront pas qui ont co-signés ce document, dont j’étais bien sûr, j’ai signé aussi et qui a été envoyé au Saint-Père avant que la collégialité, le texte sur enfin qui concerne la collégialité ne fut accepté par le concile. En mettant en garde le Saint-Père. Alors il faut voir cette réponse du Saint-Père, n’est ce pas, on voit bien déjà quelle était la pensée du Saint-Père qui pour lui c’est le nombre qui faisait : mais puisque tous les évêques la veulent. Les évêques la veulent, comment voulez-vous dire, vous, quelques-uns, vous opposer à ce que la grande majorité du concile désire. Enfin, la majorité ne fait pas la vérité. Alors c’était tout de même à lui… Et puis après aussi un autre texte aussi de plusieurs évêques, une lettre écrite pendant le concile par au moins cinq ou six évêques disant au Saint-Père : Très Saint-Père, faites attention aux équivoques et aux ambiguïtés qui sont dans le concile, on en tirera après des conséquences désastreuses pour l’Eglise. 

     Faites attention, évitez, faites vérifier tous les textes du concile très, d’une manière très précise afin qu’on évite ces ambiguïtés qui seront, qui feront le malheur de l’Eglise après le concile. Il n’y a pas eu de réponse. Alors des documents qui peuvent tout de même montrer que déjà dès le concile on s’apercevait de ce qu’était ce concile qui a été une entreprise maçonnique, c’est sûr. Et quand je dis au pape lui-même que des hauts dignitaires de l’Etat je ne le dis pas sans le savoir, des hauts dignitaires n’est-ce pas ont eu des relations avec les francs-maçons, ça a paru dans tous les journaux de New York que le cardinal Béa allait voir là-bas, avait rencontré le président des francs-maçons, n’est-ce pas, des grandes loges maçonniques de New York. Alors c’est pas… dès avant le concile, ils avaient certainement des contacts. Pour moi, n’est-ce pas, ils ont voulu faire un concile pacifiste, à la manière des pacifistes, n’est pas, maçonniques absolument, il faut que nous fassions la paix avec les francs-maçons, il faut que nous fassions la paix avec les protestants, il faut que nous fassions la paix avec les communistes, il faut en finir de ces guerres, de cette situation toujours de l’Eglise, comme avait dit le cardinal Montini, quand il était substitut, Mgr Montini lorsqu’il était substitut et que je lui demandai de condamner le réarmement moral, il m’a répondu à ce moment-là : ah faut pas toujours condamner, faut pas toujours condamner, l’Eglise va paraître une marâtre. Voilà le terme qu’il m’a employé, je l’ai encore dans les oreilles, Mgr Montini, substitut du pape Pie XII quand je lui ai demandé de condamner le réarmement moral. Alors il est comme ça, il ne faut plus de condamnation. Alors qu’on s’entende une bonne fois : francs-maçons, qu’est-ce que vous voulez ? Qu’est-ce que vous voulez de nous ? Qu’est-ce que vous demandez ? La liberté religieuse. La liberté religieuse, toutes les religions sur le même pied, droit commun pour les religions. 

     Plus d’Eglise seule vérité, seul salut, seule voie de salut, seule vérité, seule religion vraie, etc. non, fini, liberté religieuse. C’est ça que nous voulons. Ils l’ont eu ! Les protestants. Qu’est-ce que vous voulez pour vous calmer, qu’est-ce que vous voulez ? Ah, changez votre culte, n’est-ce pas, nous ne pouvons pas… ce culte nous ne pouvons pas l’admettre, il y a des choses que nous ne pouvons pas admettre dans votre culte. Si vous voulez que nous puissions prier ensemble, si vous voulez que nous soyons unis, changez votre culte. Bien, on vous fera venir même quand on fera la réforme liturgique, on vous fera venir, vous pourrez dire ce que vous voulez, on alignera notre culte sur vos désirs. Voilà. Les communistes. Qu’est-ce que vous désirez ? Ne condamnez pas le communisme dans le concile. Ne condamnez pas le communisme dans le concile. Ne touchez pas au communisme pendant le concile. Alors là nous serons d’accord. Et puis manifestez enfin le dialogue avec nous, n’est-ce pas. On n’a pas condamné le concile, euh, on n’a pas condamné le communisme pendant le concile. Alors que j’ai porté moi même avec Mgr Sigaud 450 signatures d’évêques demandant la condamnation du communisme dans le concile. Alors qu’il y a eu des choses qui ont été introduites dans le concile sur la demande d’un père, de deux pères, mais parce qu’ils étaient progressistes ceux-là avaient le droit d’avoir leurs interventions inscrites. Là je demande avec Mgr Sigaud je vais porter au secrétaire, Mgr Felici, 450 signatures d’évêques demandant la condamnation du communisme. On dit ah, ça c’est peut-être perdu dans un tiroir, on sait pas, ça pas été, non, non. Non, c’est clair, c’est clair qu’il y a eu une entente, une entente pour en finir avec les ennemis de l’Eglise, bon on voit où nous sommes maintenant, cette entente avec le diable, c’est pas autre chose.



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